19 juillet 15h00 - 16h00
GratuitConfortablement installé. écoutez des passages de ce magnifique roman d’André Bucher (le poète paysan)
Alors tu vois, on a beau brandir, agiter l’épouvantail du dénuement, l’isolement, la solitude qui ira en grandissant avec le temps, etc, sauf que la solitude c’est comme une cicatrice, tu dois juste t’armer de patience et éviter qu’elle ne s’infecte.